Chapitre 2 : Marina voyage en train
Marina préparait avec impatience ses premières vacances en solitaire. Elle rêvait de plages au sable fin et d'une histoire d'amour au clair de lune. Mais où trouver tout cela avec les petits moyens qu'elle possédait ?
Elle flânait dans le quartier, lorsqu'elle s'arrêta net devant la vitrine d'une agence de voyage. Là, en admiration devant une simple photo, notre Marina nationale se mit à rêver. Elle se décida à pénétrer dans ce lieu étrange peuplé de rêves. Elle arpenta avec nervosité la petite boutique où de nombreuses photographies représentant pour la plupart des destinations de rêve, ornaient les quatre murs de l'agence.
A présent, se tenait en face d'elle une femme d'une cinquantaine d'années. Elle était d'une blondeur à la limite de la blancheur ou alors avait-elle réellement les cheveux blancs ?
D'une sûreté qui l'étonna elle-même, elle se dirigea d'un pas décidé vers la vitrine et demanda quel était le lieu où avait été prise cette photographie. Elle demanda aussi le prix correspondant au voyage pour accéder à cette vue. Après une demi-heure de discussion, Marina avait compris que l'on ne marchandait pas un voyage, surtout dans une agence.
Quelques jours plus tard, elle franchit le pas de l'agence avec la somme convenue pour se payer ce voyage tant désiré.
Elle préparait sa valise énervée. S'agitait, s'affairait et enfournait dans sa valise une quantité astronomique d'objets divers. Notamment, un cache col, une écharpe, une robe légèrement déchirée, un short, des chaussures de randonnées, des nus pieds, des tenailles, une pelle, un poisson en céramique, une boite en plastique, une corde, une serviette, sans oublier son maillot de bain.
Etonnée bien sûr devant la contenance de sa valise, il ne lui vint même pas à l'esprit d'enlever le superflu. Sa valise risquait de craquer à tout moment.
Après avoir bouclé sa valise, Marina pris un taxi pour se rendre à la gare.
Marina préparait avec impatience ses premières vacances en solitaire. Elle rêvait de plages au sable fin et d'une histoire d'amour au clair de lune. Mais où trouver tout cela avec les petits moyens qu'elle possédait ?
Elle flânait dans le quartier, lorsqu'elle s'arrêta net devant la vitrine d'une agence de voyage. Là, en admiration devant une simple photo, notre Marina nationale se mit à rêver. Elle se décida à pénétrer dans ce lieu étrange peuplé de rêves. Elle arpenta avec nervosité la petite boutique où de nombreuses photographies représentant pour la plupart des destinations de rêve, ornaient les quatre murs de l'agence.
A présent, se tenait en face d'elle une femme d'une cinquantaine d'années. Elle était d'une blondeur à la limite de la blancheur ou alors avait-elle réellement les cheveux blancs ?
D'une sûreté qui l'étonna elle-même, elle se dirigea d'un pas décidé vers la vitrine et demanda quel était le lieu où avait été prise cette photographie. Elle demanda aussi le prix correspondant au voyage pour accéder à cette vue. Après une demi-heure de discussion, Marina avait compris que l'on ne marchandait pas un voyage, surtout dans une agence.
Quelques jours plus tard, elle franchit le pas de l'agence avec la somme convenue pour se payer ce voyage tant désiré.
Elle préparait sa valise énervée. S'agitait, s'affairait et enfournait dans sa valise une quantité astronomique d'objets divers. Notamment, un cache col, une écharpe, une robe légèrement déchirée, un short, des chaussures de randonnées, des nus pieds, des tenailles, une pelle, un poisson en céramique, une boite en plastique, une corde, une serviette, sans oublier son maillot de bain.
Etonnée bien sûr devant la contenance de sa valise, il ne lui vint même pas à l'esprit d'enlever le superflu. Sa valise risquait de craquer à tout moment.
Après avoir bouclé sa valise, Marina pris un taxi pour se rendre à la gare.
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